Face à notre monde soumis au nihilisme, le philosophe lance un appel afin que se manifestent des voix rebelles pour le penser et le contrarier.
« C’est une rentrée où... » BHL fait le point sur les événements littéraires, artistiques, politiques de la rentrée 2002.
« C’est la rentrée où... » Le philosophe interroge les possibilités, certitudes et incertitudes, des mois qui suivront la rentrée 2003.
C’était l’un des secrets les mieux gardés de la rentrée littéraire : avec qui le sulfureux Michel Houellebecq allait-il croiser le fer dans cet ouvrage dont le tout Saint-Germain-des-Prés faisait des gorges chaudes depuis des jours. On l’a appris hier : c’est BHL qui lui donnera la réplique.
C’est la rentrée littéraire, avec à l’affiche un roman de Bernard-Henri Lévy : « Les derniers jours de Charles Baudelaire ». Entretien avec Guy Scarpetta.
Le charme de Bruxelles. Le mystère Morand. Pourquoi des biographes ? Drôle de rentrée littéraire. Tapie chez Lelouch. Scorsese avait raison. La France et sa « politique arabe ». Défense de Régis Debray.
BHL joue le jeu des vrais romanciers, au corps à corps avec les réalités. Il s’essaie même à des styles différents.
« Le Diable en tête » n’est pas un somptueux accident dans l’itinéraire et l’œuvre de BHL. Au contraire, c’est une nécessité, un complément.
Le « must » de la rentrée : le premier roman de BHL, « Le Diable en tête ». Un coup d’essai et un coup de maître.
Étayée par une solide recherche historique, la reconstitution de l’agonie du poète par BHL se veut surtout une réflexion sur le mystère de la création.
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